
Sanctuaire de Yasaka, namba, Osaka
Sanctuaire de Yasaka, namba, Osaka
Avec du retard (puisque nous sommes en avril), les couleurs de l’automne 2019 à Osaka.
Par beau temps, surement une des plus belles plages/un des plus beaux endroits du japon.
Situé à une 40aine de mètres de la côte, cette porte en plein lac.
Ci dessous, pose longue de 15 sec, ce qui a pour effet d’effacer les vagues et d’adoucir les nuages.
Voici où se trouve la porte.
Si comme moi, vous n’avez jamais assisté à un match de baseball, je vous conseille fortement de vous rendre au Koshien Stadium, la maison des Hanshin Tigers, l’équipe de baseball d’Osaka-Kobe.
Les supporters débordent d’énergie et l’ambiance est magique.
Au sud du centre d’Osaka se trouve le quartier de Tennoji. Quartier populaire, c’est un endroit grouillant de vie, image du Japon tel qu’il était il y a quelques décennies. Oubliez le Japon lisse, le Japon moderne (tant est qu’il puisse exister), ici c’est le cœur d’Osaka.
Au milieu de Tennoji trône la fille spirituelle de notre Tour Eiffel (non, je ne rigole pas !)
Reconstruite suite à un incendie, la première version de cette tour était d’inspiration « Eiffelienne ». On aime ou pas, elle a son charme, surtout de nuit quand elle s’illumine et qu’on oublie que sur sa façade s’affiche le nom de son sponsor… Hitachi…
Je l’aime bien malgré tout !
En dehors d’Osaka, l’ile de Miyajima (je sais, je sais, c’est comme dire le « mont Fujisan ») est un de mes endroits préférés.
Osaka – Hiroshima en Shinkansen « local » : 68.000 yen l’aller / 68.000 yen le retour – 2h30 de trajet.
D’Hiroshima au Ferry : environs 400 yen – un peu moins d’une heure de trajet.
Le Ferry pour Hiroshima : légèrement plus de 300 yen pour l’aller-retour. 10 minutes pour arriver sur l’île.
En partant d’Osaka le matin, tôt, et en revenant le soir, le voyage est faisable. Vous pourrez passer entre 5 et 7h sur l’île, ce qui est largement suffisant. L’île en elle même est énorme mais c’est de la foret quasi partout, sauf dans la ville d’arrivée.
Nara pour moi c’est 4 fois l’an et à chaque fois, c’est une expérience vraiment sympa. La ville est, pour moi, trop petite pour y vivre (j’aime le béton) mais y venir de temps en temps fait un bien fou.
J’en fais un post donc c’est une affirmation qui va sembler un peu étonnante mais le sanctuaire Fushimi inari taisha de Kyoto est surement un des sanctuaires que je déteste le plus, de jour. Peu de places trouvent de toutes les façons grâce à mes yeux à Kyoto tant la ville vomit de monde, victime de son succès.
LA solution, c’est « tout simplement » de visiter le sanctuaire la nuit car il ne ferme pas. Après 19/20h, vous aurez quasiment tout Fushimi inari rien que pour vous.
Cliquez pour agrandir !
Et si vous désirez acheter une porte, parce que ca l’fait, voici les prix, de la plus petite à la plus grande !
Le 07 juillet, c’était Tanabata. Au Japon, c’est la fête des étoiles (si tu veux en savoir plus, wikipédia est ton ami).
Pour l’occasion, l’école de ma fille organisait donc un petit festival très convivial. Trainant rarement dans les écoles maternelles quand je n’avais pas d’enfants (hé ouais), ce fut pour moi et pour ma fille une première plutot sympa.
Pour l’occasion, les petits portent tous des yukata.
Qui dit festival dit danse. Un tambourin (non, ce n’est pas le vrai nom, c’est comme ca que je l’appelle) est placé au centre du festival, sur une estrade, et les gens dansent autour.
Aujourd’hui c’est le tour des enfants !
Les professeurs font des combat de fesses-sumo, si si.
Une bonne ambiance, des bons souvenirs :)
Je m’assois dans le train, lève la tête et remarque ce cadrage intéressant. Vite, vite, dans quelques secondes le train va partir ou quelqu’un va se placer devant moi.
3, 2 … plus vite, 1, ouf, c’est fait.
Il est des fois ou certaines photos ne sont pas spécialement belles mais évoquent quelque chose d’intéressant pour son auteur (moi). Cette photo en fait partie.
Le Japon est un pays ou les gens travaillent beaucoup (attention, je ne parle pas d’efficacité hein, c’est un autre sujet) et les trains, le soir, sont souvent remplis de gens fatigués, la tête plongée dans le smartphone ou les yeux perdu dans le vide pensant très certainement à la journée similaire qui les attend le lendemain.
Cette photo évoque pour moi cet instant. Un « moment Japon ».
Le printemps est toujours là mais les cerisiers, eux, ont disparus. A l’année prochaine !