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Et si vous désirez acheter une porte, parce que ca l’fait, voici les prix, de la plus petite à la plus grande !
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Le printemps est toujours là mais les cerisiers, eux, ont disparus. A l’année prochaine !
J’ai depuis quelques mois des bouts de vidéos qui traînent sur mon PC, j’ai donc subitement décidé de les coller bout à bout, d’y ajouter une petite musique et de « balancer » le tout tel quel. Deux heures de « montage » plus tard, 2 min 40 de vidéo, sur tout et rien à la fois.
Cette année n’est pas forcement la meilleure des années à Osaka. Les cerisiers sont magnifiques, d’un blanc éclatant MAIS … il pleut et le ciel est affreusement blanc. Blanc sur blanc, il est donc quasi impossible de prendre une photo potable (selon mes standards hein) d’un quelconque cerisier :/
La solution, les prendre de nuit, malgré les limitations matérielles imposées par mon petit appareil photo !
Ce week end direction l’expo park d’Osaka. Les cerisiers ne sont pas encore en fleurs, la nature s’eveille, gentillement et surtout les carpes, toujours pretes à s’approcher pour obtenir un peu de nourriture !
Certaines carpes attendent, la bouche ouverte, de recevoir de la nourriture (ce qui explique qu’elles soient souvent énormes)
et voici la fière représentante du Japon !
Je suis très frileux. Sous les 15°C, c’est simple, il fait frais/froid. Impossible de trouver la motivation nécessaire de prendre des photos. Maintenant que l’hiver est terminé, que le printemps commence timidement à poindre le nez, je commence à ressentir ce besoin de sortir shooter tout ce que je peux.
Les température étant clémente hier soir, je me suis arrête à une station entre mon travail et mon appartement pour prendre quelques photos, un peu au hasard, et le hasard, c’est ce que j’aime. Si vous désirez pendre les mêmes photos, il faut s’arrêter à la station « Juso », sur la « Hankyu line » qui part d’Umeda et va au nord d’Osaka. En sortant de Juso, dirigez vous simplement vers le sud, en marchant 5 minutes, vous tomberez sur la rivière, et mon spot.
Une fois n’est pas coutume, la photo suivante est une photo de smartphone, une « Little planet ». Beaucoup d’applications permettent de réaliser cet effet, je vous laisse les chercher sur les stores d’Apple et d’Android.
Minuit, l’heure du crime, mais pas au Japon ou la seule personne que vous croiserez dans une gare à cette heure tardive est une personne en kimono. Pour la petite histoire, elle se rend à Kyoto.
Bienvenue à Osaka, bienvenue à Namba, bienvenue à Dotonbori. Le quartier est plein de touristes mais très intéressant, toujours en mouvement. Odeurs de nourriture, néons, rires, touristes, rabatteurs, tout est présent pour laisser de très bons souvenirs à ceux qui y passeront quelques heures.
Japon oblige, certains soirs de petits groupes se produisent sur le bord du canal. D’un coté les « chanteuses », de l’autre les « fans ». Si on passe sur le fait qu’elles ne sont pas majeures et que certains messieurs ont des regards de prédateurs :/ c’est assez folklorique.
Dotonbori c’est LE GLICO. Même en lui tournant le dos, il n’est jamais très loin.
L’hiver j’hiberne. Je sors peu, je reste littéralement à 20 cm du chauffage chez moi jusqu’à ce que la température repasse au dessus des 10°C. L’unique chose qui pourrait me faire sortir, c’est la neige, et la neige à Osaka, c’est assez rare.
Surprise, il y a quelques jours, nous avons eu droit à deux jours de neige flocons. Ma flemme étant plus forte que tout, je ne suis pas allé à Kyoto, je me suis simplement promené dans le quartier, ce qui était tout aussi sympa, d’autant plus que c’était la première fois pour ma fille qu’elle jouait dans la neige.
La semaine de le rédaction de ce petit post, le temps était vraiment agréable. En rentrant de mon travail aux alentours de 20h, je me suis décidé à faire un petit crochet par un des quartiers les plus illuminés d’Osaka. La pluie n’étant pas très forte, j’en ai profité pour faire quelques photos.
Parce qu’on me le fait assez souvent remarquer sur la photo suivante, oui, j’ai vu qu’il y a un petit panneau « SM » au milieu. Il s’agit d’un quartier avec beaucoup de bars et d’hotesses, c’est « normal » !
Un bon gros soleil et une température plutôt clémente, voila ce qui m’a poussé à sortir de chez moi cette semaine pour aller à Nara.
Bien qu’à Osaka la faune et la flore soient aussi présentes (cafards, rats, salaryman …), Nara elle, est peuplée de cerfs (c’est quand même autrement plus majestueux !). Petite ville d’environs 375.000 âmes, plutôt plate (il y a très peu de buildings) et surannée (c’était la capitale du Japon entre 710 et 794) c’est une petite pépite au milieu du Kansai.
Osaka – Nara se fait par train en une 40aine de minutes, si vous n’optez pas par inadvertance comme moi pour le train local, celui qui s’arrête à tooooooutes les stations.
De Namba (Osaka) il faut prendre la « kintetsu-nara-line » et s’arrêter à … Nara (bien joué).
A un gros tiers du parcours, le train se met à gravir la montagne qui sépare Osaka de Nara et si vous regardez du côté gauche, vous aurez une vue sympathique sur Osaka (en rouge sur la carte du dessus).
Je suis arrivé assez tôt à Nara et la lumière était très belle.
Les biches autour de Nara ne sont pas les plus dociles. Elles vivent entre les montagnes et la ville et n’ont pas énormément de contacts avec les touristes. Elles ne se laissent pas approcher même avec de la nourriture.
La nourriture pour biches peut s’acheter auprès des nombreux petits marchands placés sur les trottoirs de la ville. 150 yen.
Et comme presque partout au Japon pendant l’automne, Nara ne déroge pas à la règle et se pare de très belles couleurs. J’ai sûrement eu la chance de voir les dernières feuilles colorées de cette année car le froid, le vrai, ne tardera pas à arriver.
Scène un peu surréaliste en plein Nara. Lac, feuilles colorées, salaryman, biche (oui j’appelle les mâles et les femelles « biches »), le bateau, etc. Je m’attendais à ce que quelqu’un gueule : « Coooooupez ! elle est bonne ! »
Japon oblige, les incongruités sont elles aussi présentes à Nara.
En cas de départ de feu dans un temple/sanctuaire, d’impressionnant moyens peuvent être mis en oeuvre en quelques secondes (mode ironique Off). Sérieusement, je pense que la chance d’éteindre un incendie avec un seau d’eau est aussi mince que la possibilité de se noyer dedans :/
Mais les biches alors, où sont-elles ? Au milieu de Nara se trouve un grand parc avec ces fameuses biches qui posent devant les appareils en s’inclinant, espérant ainsi obtenir des friandises.
Quand les gens viennent vous nourrir 365 jours par an, gratuitement, vous pouvez vous permettre de faire la difficile !
Les meilleures horaires pour se rendre à Nara et prendre des photos sont le matin assez tôt, et/ou le soir juste avant le couché du soleil (cf les 2 photos suivantes prises pendant la Golden hour). Ces heures permettent aussi d’éviter le flot de touristes qui se déverse par bus sur la ville entre 11h et 16h.
Et en bonus quelques photos de mes précédentes visites :
Vive les biches !
Shichi-Go-San (七五三, les kanji pour 7, 5 et 3) est, au Japon, un rituel de passage traditionnel pour les enfants de 3, 5 et 7 ans. Il se déroule chaque année le weekend le plus proche du 15 novembre.
Ma fille ayant tout juste 3 ans, c’est donc à son tour :)
RDV pour les 5 ans !