Les japonais me font souvent penser à des fourmis. Si vous prenez un peu de hauteur, les similitudes sont alors flagrantes.
Ca grouille d’individus, les conversations sont rares, les contacts le sont encore plus.
ils se croisent, interagissent quelques minutes, mais pas plus, car ils ont quelque chose à faire, une tache, importante pour la fourmilière, que les autres ne comprendrait pas de toutes les façons, même si ils avaient le temps de la leur expliquer.
Il faut bien que quelqu’un le fasse, après tout. C’est compliqué la vie de fourmi japonais.