Hélas, c’est le terrible revers de la mondialisation. Elle laisse toujours des gens derrière, à l’écart. Le plus terrible, c’est que dans toutes ces grandes métropoles, les exclus finissent par disparaître. On ne fait plus attention à ce fossé entre richesse et pauvreté. C’est « la misère ordinaire », comme on dit…
Hélas, c’est le terrible revers de la mondialisation. Elle laisse toujours des gens derrière, à l’écart. Le plus terrible, c’est que dans toutes ces grandes métropoles, les exclus finissent par disparaître. On ne fait plus attention à ce fossé entre richesse et pauvreté. C’est « la misère ordinaire », comme on dit…
Gursky avant la retouche !